Don

Rah putain trouver un don mais quelle galère... On va dire que... Heu, Loïs peut se rendre elle et ce qu'elle touche (donc potentiellement toi ou ton voisin) totalement invisible, intentionnellement ou souvent sans s'en rendre compte. Elle peut aussi rendre son corps immatériel et donc passer à travers les choses, meubles, murs, humains... etc. Elle peut utiliser ses deux pouvoirs combinés en se concentrant, mais ça la fait sérieusement flipper, étant donné qu'elle a l'impression de ne plus exister du tout. En fait elle ressemble au Chat du Cheschire... Ouh weiiird.

Physique

Ma face. Comment elle est ? Tu veux vraiment savoir ? T'as pas encore assez peur en la voyant ? Ha, pauvre enfant, tu ne sais pas dans quoi tu t'engages en me questionnant comme ça. Donc, je crois que tu peux remarquer la masse monumentale de cheveux. Impressionnant n'est-ce pas ? Cook a eu toute notre enfance pour trouver les surnoms les plus (ou les moins ça dépend des points de vue) originaux : la choucroute, Afro, Jackson 5... En même temps y'a matière à jaser quand on parle de mon physique. Je crois que pas mal de filles parle derrière mon dos, moi avec mes cheveux blonds chelous, dans la veine «ni bouclés ni vraiment lisses» (même si les gars disent qu'elles sont juste jalouses. Hum, laissez moi rire qui voudrait de ça sur sa tête). La dernière fois que je parlais avec mon petit cousin, il m'a demandé si parfois les oiseaux faisaient leurs nids dedans. Je l'ai pris à la rigolade...
Je fait sauvage, ok. Quand je m'ennuie, je tresse quelques mèches comme ça, pour l'occupation.
Enfin bon je sais pas pourquoi là maintenant je vous fait un speech sur la chevelure. Je m'en bat de ma tête, du genre vraiment. Je hais le superficiel en fait mais ça fait toujours du bien l'auto dérision.
Par contre j’auto-dérisionnerai pas sur le reste de ma personne. J'ai ma dignité quand même.
Alors... sinon, les yeux. Ils sont grands et gris. Pas bleus, comme ceux de Cook (NB : n'allez pas lui dire qu'il sont verts ou quoi que ce soit qui fasse allusion à son nanisme. Ce serait courir à votre perte.) Du genre argentés, comme de la brume. Sans vouloir me lancer des fleurs, ils sont pas mal. (Je suis super modeste) Enfin quand ils sont pas soulignés par des grosses cernes, à cause de, vous savez, les insomnies, ils sont pas mal. Un trait d'eye-liner par ci par là. Des yeux quoi.
Contrairement à mon frère, je suis grande et plutôt fine.  Je suis ne pas une naine en bref, pour les critères féminins. Un mètre soixante-quinze à tout casser.
Un gars m'a dit que même si ce que je mettais «n'est pas toujours à la mode, ça rends bien sur toi». Ah. (Je suppose après coup que c'était une insulte à ma manière de m'habiller.)
Ma tenue tient presque de l'aléatoire, disons. Ce qui tombe sous la main. Un vieux jean serré et une chemise militaire. Un legging et un vieux pull. Un slim et une marinière trop large. J'vais pas vous faire l'inventaire non plus. Ça va, ça vient les vêtements, c'est tout. J'ai juste une veste en cuir noire qui j'avoue, est un des rares habits auquel je tiens. Tu la touches, je te bouffe.

Histoire

Ça a commencé un lundi matin de décembre 1995. À 8 mois de grossesse, ma mère, Cassie Wesley, perds les eaux en pleine réunion téléphonique avec les partenaires de la compagnie d'avocats, laissant les entrepreneurs perdus au milieux des jurons braillés au combiné et du départ précipité à l'hôpital le plus proche. Rassurez vous, je ne suis pas née dans un taxi et à part ma naissance inattendue qui m'a valu dés le début le commentaire de mon père : «une chieuse dés sa naissance» j'ai grandi dans un milieu bien moins mouvementé.
En fait, avec des parents plein aux as, l'un dirigeant l'une des plus luxueuse ligne d'hôtels et l'autre bâtonnière reconnue par les plus grands avocats on avait peu à s'en faire. On a grandi avec Cook au dernier étage de l'Hôtel Wesley, entre ma mère hyper protectrice et mon père facho comme pas deux.  Hourra.
Je ne sais par quel miracle j'ai réussi à repousser toute l'attention de mes parents sur Cook. Je ne crois pas que c'eût même était intentionnel du tout.
Le désintérêt total de mon père envers moi avait du bon, on me lâchait les basques au moins. Les relations avec lui se soldaient en général par des disputes monumentales et des baffes qui claquent sèchement, autant vous dire que j'évitais toutes communications inutiles.
En fait il ne me prenait ni plus ni moins pour une bonne à rien d'anarchiste habillée comme une traînée. Oh joie, quelle estime avait-il pour moi ! Et Cook, lui, tranquillement installé dans sa fierté sans rien faire d'autre que ramener des bons bulletins pour le prestige familial. Pour les causes plus profondes que ramener des A+ on pouvait se brosser là.
Moi aussi j'en ramenait des A en plus.
Peut-importe. Ma mère aimait Cookie plus que tout. Je crois qu'elle avait peur de montrer son affection pour moi devant papa, ce bon tyran sous ses airs de père de famille idéal. Si vous aviez vu comme il traitait mon frère à chaque pas de travers. Tu m'étonnes qu'il bossait le pauvre gamin.
Je crois qu'il n'a jamais pigé mon fonctionnement d'ailleurs. Je suis pas compliquée pourtant : je n'aime pas l'affection, les riches, et les pouffiasses, j'aime faire des trucs dans mon coin, éviter ma famille de tarés, dessiner, et surtout le sommeil mais il ne me le rends pas.
Tout ça se menait à peu près de cette manière jusqu'à cette matinée.
Je rentrais d'une soirée un peu mouvementée. Il n'y avait personne dans les rues à cette heure, ma montre affichant dix heures du matin. Je farfouillait dans les poches de ma veste en cuir à la recherche du pass de l'hôtel devant l'absence de Peter, le jeune gardien qui d'habitude m'adressait un agréable sourire à chaque fois que je rentrais à la maison tôt le matin. Je m'engouffrais dans l’ascenseur heureusement désert, soupirant de fatigue. Je me laissais glisser contre le miroir impeccable, la tête en arrière et restait ainsi jusqu'à ce que les porte s'ouvrent sur le couloir du dernier étage. Je ne bougeais pas, fixant le parquet ciré au delà des parois métalliques d'un œil impassible. Le silence était assourdissant.
Soudain des bruits de pas précipités se firent entendre dans la cage d'escalier juste à côté et mon frère débarqua l'air totalement paniqué devant la cabine dont les portes commencèrent à se fermer.
«Hey, fis-je d'une voix pâteuse.
Ses yeux s'ouvrirent ronds comme des soucoupes et il abattit son point contre le bouton luminescent sur le mur,  se glissant vers moi.
«Oh putain Loïs...», souffla-t-il les larmes aux yeux
Il s'agenouilla et me pris dans ses bras en me serrant fort. Je restais là, complètement sonnée, sans parvenir à comprendre la justification d'une telle démonstration de panique et de tendresse.

L'explication vint bien assez vite et toutes les merdes qui vont avec aussi, mutations, zones et tout le tralala. En explorant la ville j'ai trouvée la caserne. Elle était vieille, solide et cool. Nan mais je veux dire, les rampes, là, c'est trop l'éclate, même si je l'avouerai jamais.

Caractère

Pour avoir un bref aperçu à peu près objectif du caractère de Loïs, il vaut mieux qu'il soit expliqué par quelqu'un d'autre qu'elle. En effet, Loïs est la seule à ne pas se rendre compte qu'elle irradie d'un genre de «beauté sans nom». Avec ses boucles dorées, son visage fin et droit, ses yeux argent, ses lèvres roses; elle a le visage d'un ange à l'expression dure.
Loïs est malheureusement, un de ces rares personnes qui semblent douées de tous les charmes mais qui ne sait se dépêtrer côté sentiments et qui suscite jalousie et admiration sans même en avoir conscience. Elle est incontestablement belle et séduisante, et je dis bien «belle» et pas «jolie». Jolie est quelque chose de bien plus commun, plus obtus.  
Loïs a souvent l'air grave et intelligent mais rebelle, ce qui semble lui donner quelques années de plus. Elle est passionnée. Par l'art, par la lecture, par la poésie, par la liberté. Cet esprit rebel la pousse parfois à traîner des personnes peu fréquentables, et à tester les choses pour voir. Loïs est tout à fait le genre de personne à casser un carreau, à protester, à dépaver une rue histoire de voir l'effet.
Elle respecte les autres mais ne semble pas avoir développer la conscience de ses sentiments envers eux ou bien a choisi de ne pas les montrer. Les rares moments où son visage dure s'illumine sont ceux où elle peint, où elle dessine, où elle écrit, où elle exprime son engouement pour une cause qu'elle veut défendre.  Elle sait manier les mots, convaincre, persuader, rallier à sa cause mieux que personne. C'est une jeune fille brillante qui ne semble pas savoir qu'il y a une chose nommée «sentiments humains», ce qui en fait donc son plus gros défaut et sa plus grande faiblesse. Elle a beaucoup de mal avec les démonstration d'affection, les gestes affectueux, tout ça.
Elle tolère la compagnie des personnes plus facilement qu'elle ne s'y attache. Parmi les rares qui compte pour elle on peut compter son frère, avec qui les relations sont parfois conflictuelles comme elle est souvent distante et lui têtu, un peu abîmée par la jalousie.
Avant, au lycée, c'était une élève brillante. Elle passait beaucoup de cours à lire, à dormir ou à dessiner des choses n'ayant aucun rapport avec le sujet mais néanmoins, elle restait quelqu'un de très apprécié par ses professeurs qui ne pouvait que reconnaître ses facilités.
Les autres jeunes étaient plus partager entre ceux qui jalousent et qui jasent, ceux qui admirent et ceux qui sont vraiment proches.
Loïs n'est pas associable. Elle préfère être seule mais ne fuis pas non plus la compagnie, qu'elle préfère masculine en générale. Elle trouve la plupart des filles stupides et superficielles. Son cercle d'amis est assez restreint et populaire sans l'avoir voulu, et a plutôt tendance à sincèrement trouver l'admiration des gens démesurée, voir effrayante. Ils étaient un peu à part au lycée, et peu se sont retrouvés pris dans la ville déserte, ce qui accentue la solitude de la jeune fille, chose qui ne lui est pas bénéfique bien qu'elle ne veule pas se l'avouer.
Comme on l'a dit avant elle est intelligente et solitaire, ce qui la rends parfois un peu trop philosophe et torturée, mais qui d'un autre côté la pousse à dessiner et à écrire beaucoup. Elle ne montre jamais ce qu'elle écrit pour elle et presque pas ses dessins et ses peintures, si bien que personnes ne peut savoir que ça aussi ça lui réussit. Et comme beaucoup de choses, elle ignore son talent, garde les feuilles remplies à ras bord de vers et de paragraphes en vrac sous son lit et jette les esquisses que ne la satisfont pas suffisamment, chose qu'on pourrait nommée «stupide et perfectionniste» sans aucun doute.
Dans la pratique, Loïs est facile à approcher, à admirer, à jalouser, à suivre, mais c'est une vraie galère de se lier vraiment avec elle, de creuser plus profond, de réussir à la connaître et à décrypter ses sentiments.

Un peu sur vous.

Un pseudo/surnom ?  Jam  ou Gary 8)
Des trucs à dire sur vous ?
Harry Potter ceylebien. Comment ? Foutre des smileys de merdes partout est une manie ? Hiiin :P Sinon ma vie pourrait se limiter à peu près à ça : Manger (la food ceylebien aussi *3*), dormir, geeker (Tumblr yay), lire (et causer à l'amûûûûr de ma vie, Ilya). À part ça j'ai la très mauvaise habitude de crusher sur tout ce qui bouge et de devenir fan excessivement. Oups. Et je parle du genre BEAUCOUP TROP. Pardon Ilya.
Comment avez-vous connu le forum ? Duh x)
Une remarque ? "Trop de sucre. Trop ferme. Pas assez cuit. Peu mieux faire."
Serez vous capable de ressortir cette phrase ridicule du réglement ? x)
Je m'auto-valide, vive la dictature de l'admin' o/