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Une nuit pluvieuse [Ft. Cook]
 :: La Deuxième Zone :: Rues et maisons

Mélissa Heuwze
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MessageSujet: Une nuit pluvieuse [Ft. Cook]
Une nuit pluvieuse [Ft. Cook] EmptySam 8 Mar 2014 - 16:48


La rue était sombre, quelques lampadaires éclairaient d’une lumière pâle les maisons. Je revenais d’une fête de la caserne de la zone 3, c’étais Chacha qui m’avait invitée, ca fait plusieurs fois que j’me tire de la zone 2 pour allez à des fêtes et draguer les potes à Chacha, j’espère que Cook va pas m’étriper. M’enfin, là je suis surtout entrain de me balader dans la rue, un peu… joyeuse à cause de l’alcool ? BEN QUOI ? On m’a mis au défi de boire un tonneau complet d’alcool en échange de 100 balles, j’suis pas une tapette moi waich. En plus, vu que d’habitude je tiens l’alcool, j’ai pu réussir le défi sans vomir comme mon adversaire, c’étais d’ailleurs pas beau à voir, on voyait tous les gâteaux apéritifs ressortirent avec… Comment ça j’dois éviter les détails ? Roooh bande de ptites tapettes.

DONC comme je le disais précédemment, j’étais dans la rue, un soir un peu frais, en sous-vêtements. Ouais en sous-vêtements. Oui j’ai perdu mes habits. Où ? Ben je sais pas en fait. Peut être dans le lac ou bien dans la niche du chien de la caserne qui c’est ? Je verrai bien ça demain. Je me baladais, marchant en faisant des zigs-zags, une bouteille à la main en hurlant et en chantant. Ce qui parfois réveillait les gens, qui me jetait des chaussons à la gueule :
 
-Nahhhmc’vapaslàààd’mejeterteschaus… Baragouinais-je juste avant de m’effondrer sur le macadam froid.
 
Les effets de l’alcool, c’est trop l’bonheuuuur ! Être allongée par terre dans la rue, rigolant pour un rien en bougeant comme un magicarpe à côté de chaussons de toutes les couleurs ! Ha ! Je te bénie l’alcool hein. Ou pas… BREF.

Soudain je sentis des petites gouttelettes glacées tomber sur ma peau… Je me redressai et réalisai qu’il pleuvait :
 
-VA TE FAIRE LA PLUIEEEE ! Je sais même pas ou j’suis… Beuhhh… Fis-je

Mais visiblement, le ciel n’aima pas trop ma remarque car soudain. Le déluge tomba. Nah mais quand j’dis le déluge, c’est que j’ai presque hésité à me construire une arche de Noé sérieux tellement qu’il pleuvait… Je me relevai alors avant de courir (toujours en zig-zag bien sûr) afin de m’abriter, malheureusement pour moi, la pluie était tellement épaisse (wiwi la pluie est épaisse j’te révolutionne la météo moi.) que je voyais pas plus de 10 centimètres devant moi, qui eut pour compte de me manger un sapin, un lampadaire, une boite aux lettres, …
 
Au bout d’un moment je m’arrêtai avant de réfléchir. Pourquoi est-ce que j’rentre pas dans une baraque par effraction au lieu de courir comme un dindon sous la pluie sérieux ? C’est pas comme si GRAAAANNNND monde vivait ici hein. Si je tombe sur une maison habitée, c’est vraiment que j’ai une chance de merde, pas autrement haha !
 
Je me mise alors à quatre pattes, tâtonnant le sol afin de trouver une allée qui pourrait me mener vers la porte d’une maison. Une fois des petites dalles trouvées, j’accélérai ma course à quatre pattes afin de m’abriter le plus vite possible dans la maison. Une fois la porte trouvée, je me relevai, touchant la porte tout en cherchant la poignée. Je la saisis après 5 minutes de recherche (écoutez, quand on est bourré, on sait pas forcément que la poignée est au milieu à gauche de la porte hein.) puis j’essayai d’ouvrir la porte… Mais aucun succès. RAHHH DES GENS ON ENCORE EU LE CULOS DE FERMER LEURS PORTES A CLE AVANT LA DISPARITION ? BANDE DE BÂTARRRRDDDD ! Je reculai un peu avant de prendre de l’élan et de décocher un énorme coup de pied dans la porte d’entrée, qui s’ouvrit violemment je dois dire. J’entrai dans la maison, avant de refermer la pauvre porte qui faillit craquer dans mes mains, mais bon, JE L’AI PAS CASSE. Héhéhé. J’examinai alors l’intérieur de la maison, hooo elle est souwaaaag, les meubles sont tous jolis ET HO PUTIN YA UN ECRAN PLAAAAAAAAT ! JE FAIS TROP TIEP AVEC MON ECRAN DE 15 POUCES WAICH ! Je vais peut être m’installer ici moi, héhéhé… Je me dirigeai dans la cuisine, avant de voir le frigo. Je me jetai contre lui, ronronnant de plaisir, hurlant des « MON AMOUUUR ! TU M’AS TELLEMENT MANQUE ! » Enfin… Vu que j’tais bourée, ça donnait plutôt un « ‘ON ‘MUUUUUR ! ‘AA ‘MENT ‘ANKEYYYY ! »…
 
J’ouvris alors doucement la porte du frigo, voyant la lumière sacrée à l’intérieur (wiwi l’ampoule du frigo est la lumière sacrée), j’analysai alors le contenu qu’il détenait. HA ! Y’A DES KINDERS PINGUIIIS ! Je les pris avant de refermer la porte d’un coup de rein, et d’aller me poser sur le canapé. Je commençais à manger tranquillement les kinders, quand j’entendis du bruit à l’étage… Peut être y’a une fenêtre pas fermée ?
 
Je me relevai, posant le kinder sur la table avant de me diriger vers les escaliers. Je m’arrêtai soudain, fit demi-tour, croquai un morceau dans le kinder, puis repartis vers les escaliers (qui n’a jamais fait ça sérieux ? Nah mais sérieux, me dîtes pas que je suis la seule à le faire… ? Beuuuh…).
 
Une fois les escaliers gravit (je vous passe le périple que ça était vu que j’tais complètement pumped up). Je me dirigeai donc vers le bruit qui se trouvait dans une pièce. Et là, mais me demandait pas pourquoi, mon cerveau avait du faire un arrêt violent, mais je commençai à faire des roulades par terre, et ma plaquer contre le mur version agent secret. J’ouvris doucement la porte, avant de me précipiter violemment dedans. Et je vis une fenêtre ouverte ! J’avais raison ! Je m’approchai d’elle avant de la fermer, puis je me retournai, fière de moi, comme si avoir fermé cette fenêtre avait sauvé la terre. Soudain, un autre bruit se fit entendre, il provenait du lit qui était dans la chambre où j’étais… Les couvertures bougeaient avant de se relever, et j’aperçus… Cook. OMFG IL VA ME TUUEEEEEEEEE ! PUTIN MAIS YA QUE MOI AVEC MA CHANCE DE MERDE QUI PEUT ME RETROUVER DANS LA MAISON DE COOK, BOURREE COMME UN PTIT LU ! Je commençais à blêmir, m’agitant dans tous les sens, sous le regard de Cook.

*HRP: Voilaa! J'espère que je t'ai assez surpris! 8'D PAS TAPEY REPOSE LE COUTEAU NOOON! D8*
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MessageSujet: Re: Une nuit pluvieuse [Ft. Cook]
Une nuit pluvieuse [Ft. Cook] EmptyMer 12 Mar 2014 - 13:02


Rappelez moi, pourquoi je suis dehors, à une heure pareille, avec un temps aussi merdique ? Ah oui, ça y est ça me revient. Parce que les membres de ma Zone sont de vrais connards avec moi et qu'ils m'ont laissé seul endormi dans le parc.
Le temps étant devenu plus chaleureux ces derniers temps, alors, avec quelques membres, on avait décidé de traîner dans le parc, avant qu'on se fasse chier et que je m'endorme sur un banc. Après ? Ils se sont tirés et m'ont laissé, apparemment. Je les adore. Ils ont tellement de respect pour celui qui est censé être leur putain de meneur, c'est juste incroyable. Enfin c'était sûrement juste une blague. Hein. Hein... A croire que tout le monde kiffe me faire des blagues. Je suis tellement mort de rire, wouaw.

Enfin bref. C'est la pluie qui m'a réveillé, et c'était loin d'être une pluie misérable. A croire que Dieu avait eu pitié de ma dégaine de clodo qui pionce sur un banc la nuit, alors il me jette des litres d'eau sur la gueule. A moins que ce soit juste pour me faire chier un peu plus. Donc. Trempé comme une truite et gelé comme un rat, je m'étais cassé en courant avec mon manteau au dessus de la tête. Dans un premier temps, je m'étais abrité sous un arbre, mais en sachant que la nuit allait durer sûrement encore un moment, autant aller trouver tout de suite une maison abandonnée pour rester au sec. Donc c'est ce que je fis, en me remettant à courir, encore à moitié éveillé et trébuchant de temps en temps, je suis sortis du parc et me suis rendu à la première maison du coin. J'allais pas non plus réfléchir pendant quinze ans laquelle semblait meilleure et plus belle, hein. Le truc, c'est que, bien entendu, avec mon bol incroyable, la porte était fermée. Génial. J'ai jamais défoncé de porte avant. Ca fait mal, c'est dur ? J'en sais rien moi, et j'ai pas vraiment envie d'essayer. Alors je m'accroupis, tâtais le sol, trouvais une grosse pierre et la jetai contre la vitre de la fenêtre juste à côté de la porte. Sauf qu'en fait, ça a pas marché. La pierre avait rebondi puis étais retombée sur le sol. Pour une fois que j'aurais pu avoir l'air cool et aussi rebelle que ma soeur Loïs adorée. Oh, vous moquez pas de moi, hein. C'est pas comme si j'étais un casseur de vitre professionnel, hein ! C'est pas non plus comme si j'étais déjà entré par effraction quelque part et que j'avais l'expérience. Bon. Réessayons. Il fallait vraiment que j'entre maintenant, car j'ai le nez qui coule grave et c'est vachement pas classe.

Je pris une seconde fois la pierre ; cette fois, au lieu de la jeter, je la cognais contre la vitre. Et cette fois, ça marchait. Bon, je me suis coupé la main comme un gros con, mais bon, y'a personne pour se moquer actuellement. Après, je poussais les bouts restants de vitrages puis entra à l'intérieur, écrasant les débris au sol sous mes pieds. Déjà, il faisait un tout petit peu plus chaud, plus silencieux et calme. Sauf que maintenant, quand j'y pensais, avoir cassé une fenêtre c'était peut-être pas si cool, car le vent et le froid rentrait à l'intérieur, maintenant. Mais j'avais un endroit pour passer la nuit et attendre que le déluge passe, good enough. Premièrement, comme je crevais la dalle, j'allai chercher dans les placards un paquet de chips goût paprika, mais quand je m'apprêtais à fourrer ma main de le paquet, je me rappelais qu'elle me picotait et remarquais qu'elle était quand même vachement en sang en fait. Je reposais alors le paquet sur la table et passa ma main sous l'eau quelques minutes, monter dans la salle de bain me sécher les cheveux, redescendre chercher mon paquet que j'avais oublié, prenant au passage un torchon propre pour l'enrouler autour de ma main blesser, puis monter encore une fois pour cette fois aller dans une chambre. En voyant le lit, je n'avais plus qu'envie de m'affaler dessus, m'enrouler dans les couvertures et pioncer à nouveau. Avant ça, j'enlevais mes fringues trempées, puis me glissait aussitôt sous les couvertures, mon paquet avec moi. D'abord, je frissonnais, frileux comme j'étais, parce que bah... j'étais en caleçon sous une couette pas encore réchauffée, donc pour moi, c'est hyper froid. Surtout que je trouve cette pièce plus froide que les autres, en fait. N'importe, dodo.

...

...

C'est moi où j'ai entendu un bruit bizarre ? Nah, je veux dormir on s'en fout...

...

Nan y'a vraiment quelqu'un, là ! Je crois que j'entends quelqu'un qui monte les marches. Si je bouge pas peut-être qu'on me remarquera pas ? ... Il entre dans la chambre... Oh mon Dieu ça y est, je me suis incarné dans un film d'horreur. J'entends un bruit comme si on fermait une fenêtre.... Une fenêtre ! Ah mais c'est pour ça que j'avais froid, j'avais pas capté que la fenêtre était ouverte !

On m'a sûrement déjà remarqué, alors je me lève, pour voir qui vient déranger mon sommeil. Je glisse doucement ma main vers la lampe de chevet quand même, sait on jamais. J'ai pas envie de me faire agresser non plus. En plus j'ai vraiment un pouvoir de merde quand il est question de se défendre. Et là, qui je vois ? Une meuf, je sais pas vraiment qui mais elle doit venir de ma Zone vu qu'elle me dit quelque chose - c'est pas comme si je me rappelais de tous les noms des gens de ma Zone, non plus - en sous-vêtements on sait pas vraiment pourquoi, qui fait des gestes bizarres genre elle est trop en mode panique. What. da. fuk.

Ma main se resserra un peu plus sur la lampe. Sait on jamais, elle peut être dangereuse, la Fille-Soutif. Vu la tronche qu'elle fait et ses gestes bizarres, je prends mes précautions, moi.
« Hum.... ça va ? »

Comment dire ? Elle me gênait. Profondément. De une, déjà, parce qu'elle était à moitié à poil. De deux parce qu'elle avait l'air bien torchée et que ça la rendait encore plus imprévisible. Je bougeais pas du lit, ma main toujours agrippée à lampe, la fixant, hésitant. Forcément il fallait que je tombe en pleine nuit sur une folle quand je voulais juste me réchauffer et dormir. FORCEMENT. Je suis le mec le plus malchanceux du monde putain. Enfin. Ca dépend. Parce que. Merde. Voilà.
« Tu.... t'es vachement blanche... T'es malade ? T'as froid, tu veux venir ? »


OH MON DIEU. Cook, mon vieux tu viens de gagner le prix de la proposition la plus débile au monde. Je me face palm intérieurement, là, voilà. Comment j'ai pu juste... lui... proposer de venir avec moi dans le lit ? Est-ce que je réfléchis des fois, ou j'ai un cerveau juste pour la déco ?
« EUH. NON. NON. C'EST PAS CE QUE JE VOULAIS DIRE ! »

J'étais rouge, j'en suis sûr. Mais genre rouge comme UN GROS CON QUI DIT DE LA MERDE ET QUI ASSUME PAS. Mon Dieu, je perds tellement mes moyens c'est horrible. Désolé. J'ai tellement pas l'habitude. Et je suis tellement con. Qu'est-ce que je dois faire, au juste ? Je suis en train de m'enfoncer c'est horrible.
« Je t'interdis de venir dans ce lit, d'ailleurs. Je préfère que tu dormes dehors en fait. Oh mon Dieu.. pitié.. juste casse toi c'est horrible, je dis trop de merde. »

Elle doit avoir tellement pitié de moi, haha. Hhahaa... je pleure intérieurement, sérieusement.
((même pas je me relis, wesh trop rebelle :hap: CA TE VA COMME CAAAAA ? C'8 J'aime mon Cook pas doué qui s'enfonce tout seul :hap: ))


Dernière édition par Cook Wesley le Lun 6 Juil 2015 - 15:24, édité 2 fois
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Mélissa Heuwze
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MessageSujet: Re: Une nuit pluvieuse [Ft. Cook]
Une nuit pluvieuse [Ft. Cook] EmptyMer 12 Mar 2014 - 20:12


Je vis Cook prendre la lampe dans sa main, la resserrant de plus en plus au fil du temps. L’adrénaline que me procurait la peur d’avoir ma vie explosée par une lampe me fit un peu dessaouler, c’est plutôt positif ça je dois avouer ! Car sinon il aurait rien compris si je lui sors une excuse et il m’aurait explosé la gueule avec la lampe, ou pire avec la table de nuit. Je ne sais pas de quoi il est capable, je l’ai jamais réellement vue à l’action, je l’ai toujours vu que de vue et entendue parler de lui. Quoi qu’il en soit, je reprenais mes esprits petit à petit, tout en fixant Cook, qui était immobile, il était lui aussi (je pense) en pleine réflexion. Puis il ouvrit la bouche quelques instants après :
 
-Hum… ça va ?
 
Ha ? Heu. J’allais répondre quand j’aperçus qu’il se replongea dans ses pensées, tirant quelques grimaces tout en me fixant… Pourquoi il me regarde comme ça ? J’ai du chocolat sur l’visage ? Ha non. J’ai compris. Y’a une certaine rumeur qui disait qu’il était plutôt… frustré avec les filles. J’ai compris pourquoi il me fixe comme ça. Ben quoi ? Déjà en temps normal, il aurait eu sans doute du mal avec moi, mais là, je suis EN PLUS, en sous-vêtement. D’ailleurs faut que j’retrouve mon short moi… Ou ma robe, j’sais plus comment j’tais habillée… J’suis sûre que c’est un pote ou Chacha elle-même qui m’a encore fauché ma tenue, m’enfin bref. Oh mon dieu ! J’espère qu’elle ne fait pas des trucs glauques avec, genre un truc vaudou et tout. Je commençais un peu à blêmir quand je fus soudainement tirée de mes pensées par Cook, qui recommença à parler :
 
-Tu… T’es vachement blanche… T’es malade ? T’as froid, tu veux venir ?
 
Je sentis une légère rougeur sur mes joues ? WTTFFF ? IL M’A BIEN INVITEE A DORMIR AVEC LUI. SACHANT QUE LUI AUSSI N’EST PAS GRANDEMENT HABILLE. La rumeur serait donc fausse ? Ca se trouve c’est un prédateur sexuel, j’devrais plutôt me méfier, je regardais alors rapidement la chambre, cherchant un objet qui pourrait me servir de défense (ben quoi, il a bien sa lampe hein !). Hum, y’a une chaise. Ok Mister Chair, si y’a un problème tu actives le Chair mode actived BOOP //PAN//.  Je le regardais après avoir fixé la chaise pendant un ptit moment, tiens ? Il est entrain de s’agiter tout seul ?:
 
-EUH. NON. NON. C’EST PAS CE QUE JE VOULAIS DIRE ! Hurla-t-il en rougissant
 
Eh beh mon pote, t’avais sortis tellement ça de manière naturelle que j’suis sûre que y’avait pas du faux dans ce que tu disais. M’enfiiiiiiiiin bref. Je le fixais, rouge comme lui, ne disant rien comme depuis les 10 minutes précédentes, ptin c’tellement gênant comme situation, quand j’vais raconter ça à Chacha elle ne va pas me croire, haha ! Je ne devrais pas m’en réjouir en fait, je sais même pas si je vais sortir vivante de cette pièce… Il recommença alors une nouvelle fois, j’suis sûre qu’il va encore s’enfoncer, il devrait mieux m’laisser en placer une, mais bon c’est assez marrant alors j’me tais et j’le laisse parler gentiment, extérieurement, je suis sûre que cette situation est super comique !:
 
-Je t’interdis de venir dans ce lit, d’ailleurs. Je préfère que tu dormes dehors en fait. Oh mon Dieu… pitié… juste casse toi c’est horrible, je dis trop de la merde.

Quoi ? MAIS IL EST OUF LUI ? JSUIS PAS UN CHIEN MERDE JVAIS PAS DORMIR SOUS LA PLUIE COMME UNE CASSOS ! Je n’ai pas envie de tomber malade waich. Je le fixais d’un regard arrogant, leader ou pas, y’a des limites. Hum, bon je ne vais pas l’agresser, car il a toujours la lampe dans sa main, je vais plutôt faire de manière douce. J’ouvris alors enfin ma gueule après au minimum 20 minutes de scènes plus pathétiques les unes que les autres. :
 
-M-mais Cook… Tu peux pas me demander ça ! T’as vu comme il fait froid dehors ? Je vais mourir… Fis-je, le regard et la voix le plus craquant que je le pouvais
 
Mais malheureusement, ça le frustra encore plus je crois, car il faisait des grands signes de négations avec sa tête, tenant fermement sa main contre la lampe. Boooon. Ok je n’ai pas le choix. Mister chair, c’pas toi que j’vais activer mais mon don. S’il ne veut pas me laisser dormir ici, ben je vais le forcer, pas d’autre choix. Bon par contre le soucis, comment je vais faire pour arriver à le garder immobile, le regard dans le mien afin de pouvoir le manipuler… Ca risque d’être compliquer… J’ai une idée, mais je risque de m’en prendre plein la gueule si je n’esquive pas…Mais bon, je n’ai pas réellement le choix…
 
Je me rapprochais alors du lit, puis grimpais dessus, me dirigeant vers lui à quatre pattes, soudain il jeta la lampe violemment, je me mise sur le côté, esquivant la lampe au dernier moment, qui alla d’ailleurs s’écraser violemment contre le mur. Hoo putin, si je me l’étais mangé, j’aurais pu dire au revoir à ma boite crânienne… Je regardai à nouveau Cook, hésitante toujours à faire ce que j’allais faire, et un peu rouge, il va croire que j’suis une violeuse putin… :
 
-Bon Cook, je m’excuse d’avance… Bredouillais-je, évitant son regard
 
J’avançai alors plus vers lui, avant de le chopper par les épaules et de la plaquer contre le lit, je m’assis donc sur son torse, afin de l’immobiliser. Omfg la position qu’on a pas, je le voyais s’exciter, rouge, il n’appréciait visiblement pas mon idée. Je le fixai alors droit dans les yeux, putin je le vois presque pas en fait, je rapprochais donc mon visage vers le sien afin de mieux voir où étaient ses yeux, ha voila ! Je crois que c’est bon. Maintenant faut qu’il me fixeeee ! ALLEZ FIXE MOIIII !... :
 

-Tu veux bien me regarder dans les yeux s’il te plaît ? Demandais-je (question stupide bonjourrr !)


-Et wala! J'espère que je vais pas trop traumatiser ton Cook durant ce RP! XDDD Hâte de lire ta réponse 8'D Et wi ça me va! o/ (je passe trop pour une violeuse dans ce Rp n'empêche XDD-
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MessageSujet: Re: Une nuit pluvieuse [Ft. Cook]
Une nuit pluvieuse [Ft. Cook] EmptyLun 6 Juil 2015 - 14:32



« M-mais Cook… Tu peux pas me demander ça ! T’as vu comme il fait froid dehors ? Je vais mourir… »

D'accord, j'avais un peu paniqué. Lui dire de se casser n'était peut être pas la manière des plus galantes d'accueillir une fille qui cherchait simplement refuge après tout ce déluge. Je suis vraiment un con. Mais n'empêche qu'elle était complètement bizarre, à se balader… comme… comme ça. A moitié à poil, là. En faisant sa petite voix de petite sotte gentille et naïve. La jeunesse me désespère.
Et puis… elle me connaissait ? Comment ? D'où ? C'était peut être une succube venue des enfers qui sait…

Et j'avais sûrement raison. Elle s'approchait, presque suavement, comme une démone des enfers, c'était maintenant clair, il suffisait de voir ses yeux dorés complètement flippants, qui pouvaient avoir des yeux comme ça dans la vraie vie ? On aurait dit les yeux d'un prédateur… Je suis même sûr qu'elle fait du vaudou, aussi.

C'était débile, mais la lampe « m'échappa », dira-t-on. En fait, je l'ai jetée. Impulsivement. Sur elle. Parce qu'elle me fait peur. Maintenant, elle était à quatre pattes sur le lit, avec sa tête de sainte ni touche. Cette fille était pas bien, c'était clair. Et moi non plus, de toute façon. Jeter une lampe sur une fille comme un malade, qu'est-ce qui tournait pas rond au juste avec moi ? En même temps, j'avais du mal à savoir encore si je rêvais ou pas, tellement la situation semblait encore plus bizarre qu'initialement. Que cherchait-elle ? Plus elle s'approchait, plus je pouvais sentir l'odeur de l'alcool. Est-ce que j'allais vraiment faire abuser sexuellement par une espèce de fille aux yeux radioactifs ?

« Bon Cook, je m’excuse d’avance… »

Ca voulait dire quoi, exactement, ça ? Est-ce qu'elle était possédée ? Nan, juste tarée ET bourrée.

« Reste où tu es… s'il te plaît... »

Est-ce qu'elle écouta mes supplications de petit puceau effrayé ? Pas le moins du monde bien sûr. Pourtant je me sentais vraiment de plus en plus mal, là. Plus elle s'approchait, pire c'était, quand elle posait ses mains sur mes épaules sans que je puisse réagir, au fond curieux de savoir ce qu'elle cherchait à faire, je devais l'avou-… Allez vous faire voir, vous pensez vraiment que j'avouerais un truc pareil ? J'étais tétanisé, c'est tout. Et un peu curieux. Elle approchait son visage plus près du miens. Je me sentais encore rougir. Qu'est-ce qu'elle foutait bordel à chiotte ? Merde, maintenant que j'y pense, c'est peut être un des paris d'un de ces cons de l'hôtel. Moi et ma réputation de puceau gay refoulé, ça avait bien dû faire lancer des paris stupides. Comme m'envoyer une fille en sous vêtements pour m'embrasser.

J'étais trop troublé, je comprenais que dalle à ce qu'elle cherchait à faire, là. Ou peut être que si, mais voilà, comprenez…

« Tu veux bien me regarder dans les yeux s’il te plaît ? »

C'est bon, c'est clair que mon dépucelage a été mis en jeu par je ne sais quels cons. On se fait pas sauter dessus par une fille comme ça, sinon.

Malgré toutes ces certitudes, je respirais plus fort, m'efforçant de chercher une issue avant de me faire violer par je ne sais quelle fille stupide aux yeux jaunes. Merde, ça me choque vraiment, ça. Des yeux JAUNES. Pourquoi les gens sont tous aussi devenus bizarres après la disparition ? Elle pouvait pas avoir des yeux normaux comme tout le monde, celle là ? Ca me fout la frousse, ses yeux de succube, et en plus, elle veut que je la regarde ! C'est sûrement un stratagème, ça se trouve, elle n'était peut être pas succube, mais son pouvoir pouvait peut être se rapprocher de ça. Et ça pouvait marcher en me regardant.

« C'est quoi ton problème ? Lâche moi ! Je n'ai plus rien pour t'attaquer de toute façon, tu cherches à faire quoi là… espèce de.. d'ivrogne ! Merde ! »

Décidé à ne pas la regarder, je la repoussais avec force. Il fallait que je reprenne mes esprits, elle me rendait dingue, et pourquoi ? Simplement parce qu'elle était du sexe opposée, à moitié à poil, et à moitié sur moi. D'accord, ça pouvait rendre dingue, surtout quelqu'un comme moi, célibataire depuis putain de 19 ans. Mais même. Je devenais ridicule, avec mes histoires de succube et tout ça. Ca a toujours bien été moi, ça, d'en faire trop. Toujours à partir dans des délires grotesques et me compliquer horriblement la vie comme un gamin. Je grandissais pas du tout. Loïs se serait sûrement foutu de ma gueule si elle avait pu me voir et entendre mes pensées. Heureusement, son truc à elle c'était de jouer Casper le fantôme en un peu moins gentil. Mais plus classe aussi, mais je vais pas ouvertement l'admettre non plus.

Je pris une grande inspiration avant de la regarder. Finalement, je l'avais peut être déjà vu de loin. Elle devait être dans ma zone, mais en même temps, je voyais tellement de gens passer dans mon hôtel que j'étais loin de me rappeler tout le monde.

« Je voulais pas vraiment te jeter dehors, sale idiote ! C'est pas en faisant des trucs bizarres avec moi que… Merde, mais qui t'as élevé, au juste ? T'as grandi dans un bordel ou quoi ? »

Je la regardais maintenant complètement droit dans les yeux, emporté. Je venais de la traiter de fille de joie mais je m'en fichais. Elle n'avait pas à faire ça. Parce que ce n'était pas dans mon planning d'avoir en plein soir, dans une maison très probablement abandonnée, une fille qui fait des choses qui me sont pour ma part dérangeantes. Voilà.

((WOUH un an plus tard. Je m'aime voilà. Au fait maintenant Cook a 19 ans, mais bon ça change pas grand chose, c'est juste voilà. Aussi, je me demandais ce que ça donnait, si leurs pouvoirs, qui sont très similaires, devaient genre... se confronter ?))
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Mélissa Heuwze
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MessageSujet: Re: Une nuit pluvieuse [Ft. Cook]
Une nuit pluvieuse [Ft. Cook] EmptyVen 7 Aoû 2015 - 13:58


J'étais toujours assise sur lui, dans une position pire que gênante. En plus je le fixais comme une psychopathe là afin de pouvoir prendre le contrôle sur lui, il doit me prendre pour une folle en manque de bite. Bon. Il est mignon mais... HO CA VA ! OUI LOGIQUEMENT DE CE GENRE DE SITUATION ON MATE PAS LA PERSONNE MAIIIIS... autant en profiter, je le voyais que de loin d'habitude, alors maintenant que je l'ai sous mes pattes (et mes fesses lol) autant juger la marchandise, hum oui oui...

Il commençait visiblement à respirer plus fort, questcequisepasse ? Je l'écrase ? Il est en train de mourir sous mon poids ? Pfff. Je fais à peine 47 kilos ! T'abuses mon p'tit Cook là ! Faut se muscler hein ! Errrh, anyway... Je vis son regard s'agiter dans tous les sens, un coup à droite, un coup à gauche ! Je ne pouvais m'empêcher de chantonner dans ma tête un petit « A droite ! Des canapés ! A gauche ! Des canapés ! Devant ! La porte d'e- » Bref. 25 zig-zags plus tard, il replongea ses yeux dans les miens, l'air perplexe et profondément choqué. Ha ! Parfait ! Continue à me regarder mon chou... NON ! IL VIENT DE DETOURNER SON REGARD ! P'TINGGG.

« C'est quoi ton problème ? Lâche moi ! Je n'ai plus rien pour t'attaquer de toute façon, tu cherches à faire quoi là… espèce de.. d'ivrogne ! Merde ! »

IVROGNE ? Ouais bon. C'est vrai que là, je ressemble limite à mon père... J'ai honte. Sincèrement. Il faudrait p'tetre que je me calme avec ça... Depuis la disparition, on va pas dire que je suis très responsable... Je fais que des conneries, que des soirées, et voilà où j'en suis maintenant. A moitié à poil, sur un gars (qui visiblement est puceau) et que je ne connais pas, essayant de le manipuler afin de pouvoir dormir dans une maison abandonnée car je suis juste trop pétée pour retourner chez moi... Haa... Qu'est-ce que je vais faire de moi ? Je n'en peux plus, j'ai faim.

Il m'extirpa de mes pensées en me repoussant avec une certaine force, celle du désespoir et de la peur je suppose? Il devenait fou, ça se voyait dans son regard. Je me laissais faire quand même, me reculant et m'asseyant sur le bout du lit, ramenant mes mains vers ma bouche, mais qu'est-ce que je fais putin... Il va me virer de la zone avec mes conneries. Et merde. Je vais devenir vagabonde, j'ai pas envie de vivre toute seule... Bon... J'ai bien vu une meute de chiens sauvages mais... Voilà quoi.

Je remarquai soudainement qu'il me regardait, de haut en bas, une certaine illumination apparue dans son regard. Ho merde. Il est en train de me remettre là, il me reconnaît sûrement ! J'suis dans la merdeeeeeee !

« Je voulais pas vraiment te jeter dehors, sale idiote ! C'est pas en faisant des trucs bizarres avec moi que… Merde, mais qui t'as élevé, au juste ? T'as grandi dans un bordel ou quoi ? »

Ho ? Sérieux ? Il voulait pas me jeter dehors ? He mais ! T'aurais dû le dire plus tôt alors ! Ou carrément ne jamais me demander de sortir ! Abrutit va ! ET PUIS WAIT. ATTENDS. IL M'A INSULTE UN PEU LA NON ? Je plongeais mon regard dans le sien, car en fait, il me fixait intensément depuis genre 10 secondes maintenant. Je commençais à le regarder plutôt froidement. Le fait qu'il m'ait insulté ne me dérange pas, mais la remarque concernant l'éducation qu'on m'ait offerte m’insupportais terriblement. Je me redressais, me tenant fièrement (je me tiens toujours comme ça, c'pas ma faute.), le regardant droit dans les yeux sans aucune vergogne et aucune manière. N'activons pas encore notre don, on va voir ce qu'il peut offrir.

« Retire ce que tu as dis. Concernant la personne qui m'a élevée. Et excuse moi d'avoir agît comme ça, mais si tu t'étais comporté un peu plus galamment envers moi au lieu d'essayer de me jeter dehors et de me tuer avec une lampe de chevet, je n'aurai peut être pas dû faire tout ça. T'es notre chef non ? Tu devrais pas t'occuper un peu mieux des personnes de ta zone ? Je ne te connais pas, effectivement, je ne sais pas ce que tu as vécu, en effet, mais c'est pareil pour toi ! »

Je m'arrêtais, est-ce qu'il y a encore un quelconque intérêt à essayer de la manipuler ? Pff, je ne sais pas... Je me relevais, posant mes pieds nus sur le parquet en bois froid. Je partis en direction d'une armoire qui se dressait là. J'ouvris les portes et fouillais quelques secondes avant de retirer une chemise blanche qui traînait. Mhhh, c'est pas grand chose, mais ça fera l'affaire. J'enfilais la chemise (qui était beaucoup plus grande que moi, elle m'arrêtait à peu prêt à 15-20 cm au-dessus de mes genoux, parfait ! Au moins ça recouvrira ma petite culotte, car je l'ai vu ! Il l'a regardé pendant au moins un bon petit moment!). Pendant que je refermais les boutons, je le voyais du coin de l’œil. Il était toujours assit dans le lit, l'air bête.

« Quoi ? Ne me regarde pas comme ça ! Je vais m'en aller c'est bon. » Marmonnais-je d'une voix boudeuse, les sourcils froncés, les yeux fermés.

Haa... Bon... Il fait encore nuit pour minimum 4 heures et il pleut toujours... Mais bon vaut mieux se barrer...

(Wallah ! Wallah ! Mon dieu, t'as aucun respect, un an quoi PTDR XD Et maintenant deux choix s'offre à toi !:3 Soit tu me laisses me barrer, soit tu essayes de me PERSUADER de rester, et à ce moment là on pourrait se faire un p'tit battle de dons ! :'D Mais si tu as une autre idée o/ Surprends moi!)
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